Un jour, une histoire [Ronii']

Roniron avait été réveille par le cris de son amour, mais le temps qu'il comprenne que ce n'était pas lui qui rêvait et qu'il avait vraiment entendu un cris, Asalia sortait déjà du leur appartement. Il s'assit sur le bord du lit et resta comme sa quelque instant. Il finit par se levé et passa vite à la salle de bain pour mieux se réveiller. Un fois cela sa fait il alla voir ses deux enfants. Il dormait bien, pas de problème., il pouvait les laissé. Il lança un sort aux berceaux et à sa montre pour que sa montre devienne chaude si les enfants se mettait à pleurer. Il s'habilla rapidement sans vraiment faire attention à ce qu'il mettait et partit rejoindre sa belle qui n'avait pas l'aire d'aller bien.

Quand il arriva dans le parc le directeur de Serdaigle vit Asalia courir vers le lac, puis s'assoir pour fixé l'étendu d'eau. Il marcha vers elle en souriant. Son amour était toujours très belle, même fatigué. Il arriva à son hauteur, s'assit à coté d'elle et la prit dans ses bras d'un doux mouvement.

- Qu'est qui se passe ma belle? Tu n'est plus la même ses derniers jours.

Roniron sourit. Il avait peur qu'elle asseye de lui cacher quelque chose de plus grave. Cela le soulage un petit peu de savoir que s'était seulement son rêve. Mais ce rêve commençait à inquiéter le jeune homme. Il passa sa main dans les cheveux de son aimé et lui murmura à l'oreille:

- Ne t'inquiète pas. C'est finit maintenant, tu es réveillé et ce n'est pas arrivé.

Il serra sa belle contre lui et l'embrassa sur le front. Il l'aimait plus que tout et tout en la rassurant il cherchait une solution à ce problème de cauchemar. Il eut soudainement une idée qui lui semblait bonne. Il l'a relâcha, la regarda dans ses beaux yeux humide et lui dit:

- J'ai entendu parler d'un sorcier qui fait de l'hypnose pour aidé à comprendre les rêves ou à les oubliés. Peu être que tu pourrais essayer. Je n'ai plus envie de te voir dans cet état!

Roniron lui sourit. Ce sourire...Il avait toujours eu le don de la rassurer, et de la faire sourire en retour. C'était une des choses qu'elle appréciait le plus chez lui... Cet homme, celui qui avait conquis son coeur, qui avait supporté tellement de chose pour elle et pour leur couple, l'homme qui partageait sa vie, était le seul à lui faire cet effet là. Un peu comme une drogue, une sorte de morphine...

Asalia sentait son trouble et son inquiétude à son égard. Elle aurait tellement voulu pouvoir le rassurer, lui dire que tout allait bien... Mais Roni la connaissait trop bien. Il savait tout de suite quand ça n'allait pas, quand elle mentait, quand elle lui cachait quelque chose. Pourtant, c'était elle qui était télépathe, qui possédait le don de lire dans les âmes et les pensées des autres...

- Ne t'inquiète pas. C'est finit maintenant, tu es réveillé et ce n'est pas arrivé.

- Si seulement tu pouvais avoir raison, murmura-t-elle. Si seulement ce n'était qu'un mauvais rêve.... Et si seulement ce cauchermanrd pouvait s'arrêter.... Si seulement...

Roniron l'attira contre lui et Asalia se laissa aller au doux bercement et à la chaleur de ses bras. Il embrassa son front avec beaucoup de tendresse. Tout chez lui n'était qu'amour, douceur, tendresse... Tout ça pour elle.... As' sentait qu'il cogitait à plein régime. Il cherchait une solution à son problme. Comme d'habitude....

- J'ai entendu parler d'un sorcier qui fait de l'hypnose pour aidé à comprendre les rêves ou à les oubliés. Peu être que tu pourrais essayer. Je n'ai plus envie de te voir dans cet état!

- Tu as raison, répondit la jeune femme en soupirant. C'est peut-être la bonne solution. Je serai prête à faire n'importe quoi pour ne plus avoir à affronter ce cauchemard chaque nuit... Merci, mon coeur. Je t'aime, tu sais....

- Ne t'inquiète pas pour l'instant tout va bien. Je suis avec toi et jamais, vraiment jamais je ne te quitterai.

Il se colla à sa compagne, lui faisant un petit baiser dans le cou et en lui caressant le ventre doucement avec sa main gauche. Il l'aimait et ne voulait pas qu'elle souffre. Il commença à la bercer comme quand on rassure les bébés. Les cheveux d'Asaila caressai sa joue et il aimait cette douceur. La douceur de son amour pour elle. Il faisait frais et le jeune directeur de Serdaigle fit apparaître une couverture pour eux. Ils s'emballèrent l'un contre l'autre au bord du lac par cette belle soiré dans une couverture de laine.

- Bientôt se sera finit. Tu pourra te rendormir sans peur de faire de cauchemars .

- Ne t'inquiète pas pour l'instant tout va bien. Je suis avec toi et jamais, vraiment jamais je ne te quitterai.

Asalia sourit. Elle savait tout ça. Elle savait que jamais au grand jamais il ne cesserait de l'aimé ou même de l'abbandonner, bien qu'il l'ait déjà fait. Cela le faisait souffrir peut-être même plus qu'elle, puisqu'il avait la culpabilité en plus...

Roniron serra la jeune femme contre lui, l'entourant de ses bras protecteurs. Il embrassa le haut de son crâne avant de la bercer avec amour et douceur. Il avait toujours cette douce compréhension, cette tendresse affective au fond des yeux. C'est une des qualités qu'As' aimait chez lui.

- Bientôt se sera finit. Tu pourra te rendormir sans peur de faire de cauchemars .

- Je l'éspère, mon amour, répondit Asalia en soupirant. Je ne souhaite que ça... Mais nous devrions rentrer. Les enfants vont surement se réveiller dans quelques minutes.

- Encore quelques minutes... De tout façon si ils pleurent ma montre sonnera.

L'homme aux cheveux bleu embrassa à nouveau Asalia. Il coucha gentiment sa belle sur le sol et s'étendit sur elle sans mettre de poids sur son ange. Sa main droite glissa sur la hanche de la blonde. Roniron déposa un bisou dans le trou de l'épaule de sa princesse et remonta jusqu'à sa bouche dans un étreinte passionné. Il se rassit et rassit Asalia en avec l'aide de son bras. Elle n'avait rien eut besoin de faire, mais il savait que celui le faisait surement du bien de pouvoir ce laisser aller.

- On rentre, mais laisse moi m'occuper des petits. Il faut que tu dormes et si tu veux je peux rester contre toi pour que tu ne fasse aucuns cauchemars.

Il prit sa douce et belle dans les bras. Roni faisait assez d'exercice pour réussir à la porter sa compagne. Il commença d'avancer vers le château quand une idée à laquelle il pensait depuis un moment lui revint à l'esprit. Il se pencha à l'oreille de son aimée et lui murmura:

- Asalia, mon amour... veux-tu m'épouser?

- Encore quelques minutes... De tout façon si ils pleurent ma montre sonnera.

- Bon, tu a gagné, répondit Asalia avec un petit sourire. On reste un peu... Mais tu sais que je n'aime pas être loin des enfants.

Roniron déposa un très léger baiser sur les lèvres de la jeune femme. Ce simle contact la fit frissoner de plaisir. Il l'allongea avec douceur contre le sol pour se retrouver au dessus d'elle. Toujours avec tendresse et précaution, il laissa sa main glisser jusqu'à la hanche d'Asalia. Ses lèvres si douces descendirent lentement dans le cou de la demoiselle avant de remontr jusqu'à sa bouche. Roni' la releva lentement.

- On rentre, mais laisse moi m'occuper des petits. Il faut que tu dormes et si tu veux je peux rester contre toi pour que tu ne fasse aucuns cauchemars.

- Oh, mon coeur, dit soudain Asalia en le serrant contre elle. Si tu savais comme je t'aime... Tu es tellement adorable. Merci, mon amour.

Roniron l'aida à se relever. A la grande surprise d'As', il l'attrapa et la porta dans ses bras comme si elle ne pesait pas plus lourd qu'une plume. Asalia lui sourit et lui caressa la joue. Il avança de quelques pas avant de s'arrêter d'un coup.

- Asalia, mon amour... veux-tu m'épouser?

- Oh, fit As' avec surprise. B...B...Bien sur, mon coeur! Je me demandais quand tu te déciderais!

- Oh! B...B...Bien sur, mon coeur! Je me demandais quand tu te déciderais!

La réponse de son amour, bien que attendu, donna des ailes au jeune père. Il déposa sa future femme et en l'enlaçant se laissa tomber un arrière. Ils se retrouvèrent parterre et Roniron embrassa Asalia d'un baiser plein d'ardeur et de bonheur. Elle lui avait dit oui.
Il se retourna plaquant doucement sa belle sous lui. L'homme aux cheveux bleus commença à jouer avec les lèvres de sa bien aimé en les pincements avec ses dents. En même temps il passa sa main sous le T-shirt noir un peu court d'Asalia et commença à lui caresser son ventre. Il releva la tête et dit un grand sourire accroché à ses joues.

- Je t'aime et tes cauchemars seront bientôt finit. On reste ensemble maintenant! Si tu veux on fait un lien magique.

Les liens magiques étaient deux bracelets ressemblant plus à de simples ficelles ensorcelée qui changeait de couleur selon l'humeur de la personne qui portait l'autre lien. Il caressa les cheveux de sa belle avec sa main gauche.

En quelques secondes, Asalia passa des bras de son cher et tendre au sol moelleux et herbu. Allongés tous les deux l'un contre l'autre dans l'herbe, Roni' et As' se regardaient. Il se pencha sur elle et l'embrassa avec passion. Il se retroua au dessus d'elle, la plaquant contre le sol et repris ses baisers pleins d'ardeur. Asalia sentit la main de Roniron sur son ventre.

- Je t'aime et tes cauchemars seront bientôt finit. On reste ensemble maintenant! Si tu veux on fait un lien magique.

Asalia leva les yeux au ciel, un sourire aux lèvres. Elle entoura son cou de ses bras et l'attira à elle pour déposer un autre baiser sur ses lèvres.

- Oui, répondit-elle, moi aussi. Je t'aime, je t'aime, je t'aime. Tu as intérêt à rester avec moi, parce que je te jure que sans toi, je mourrai. Alors, ne me quitte pas, mon amour...

- Oui, moi aussi. Je t'aime, je t'aime, je t'aime. Tu as intérêt à rester avec moi, parce que je te jure que sans toi, je mourrai. Alors, ne me quitte pas, mon amour...

Il lui sourit et partit à la rencontre de ses lèvres fruité avec les siennes et déposa un baiser d'amour sur sa bouche. Une fois la doux baiser finit Roniron leva la tête. Asalia avait un expression d'amour sur le visage et de bonheur. Il lui sourit et lui caressa la joue.

- Je veux bien jamais te quitter, mais je ne suis pas sur que les élèves soient d'accord de nous voir ensemble dans tes cours.

Le jeune rigola: il savait que son amour ne parlait pas vraiment de resté toujours l'un avec l'autre, mais de ne jamais la laisser seul trop longtemps ou sans prévenir.

- Mais je te le promets! Sur mon âme. Je t'aime!

Affirma-t-il en continuant de jouer avec le ventre de sa belle. Il remonta un peu avant de mettre ses mains dans la nuque de la femme et l'embrassa passionnément.